Can2023 : Avant la demi-finale Côte d’Ivoire-RDC/Les réactions d’anciens joueurs, de dirigeants et sélectionneur
BADRA ALIOU (ex -international Ivoirien et de l’ASEC): ” Nous devons savoir attaquer l’adversaire”
Les joueurs Ivoiriens doivent faire preuve de beaucoup de détermination dans le match. Ils n’ont plus droit à l’erreur. La confiance, la sérénité et un mental fort seront les atouts majeurs de nos éléphants. Ils nous restent deux matchs pour soulever le trophée continental.
La RDC a une très bonne équipe qui compose avec un très bon milieu de terrain. Le sélectionneur Ivoirien Faé Emerse a les joueurs pour attaquer l’adversaire. Nous devons savoir attaquer l’adversaire. Avoir une grande solidarité et relever le niveau de notre jeu.
GBONKE TIA MARTIN (Ex-sélectionneur des éléphants):”il faut beaucoup frapper dans les buts adverse”
Il faut aller chercher les Congolais dans leur camp, insister sur les mouvements de nos attaquants. Dès qu’on a une ouverture il faut qu’ils frappent. Les congolais vont chercher à fermer le jeu. Après la victoire de nos pachydermes contre le Mali, les protégés du coach national FAE EMERSE sont dans un dynamisme et doivent garder cet état d’esprit. Le nouvel entraineur national fait des remplacements judicieux.
MOHAMED BOURGI (Président de Stadium): ”Nos joueurs doivent attaquer”
C’est Dieu qui a fait que nous avons franchi l’équipe du Mali qui était donnée favori. Nos joueurs doivent attaquer. Il faut qu’on ait cette fois-ci un milieu de terrain qui joue rapide. Les éléphants se sont réveillés au bon moment. Il nous faut des ailiers de débordement pour les centres. J’ai foi à la victoire des éléphants contre la RDC.
DAFFE (Président des anciens footballeurs du stade d’Abidjan): “Jouer en bloc et en contre”
Garder l’équilibre qu’on a eu contre le Sénégal et contre le Mali tout en renforçant le côté droit de notre défense. Ensuite, que nos éléphants jouent en bloc. Notre sélection ne doit pas jouer en attaque classée. Nous devons jouer en contre pour battre la RDC.
Propos recueillis par K. Blanchard
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